
SOMMET
Du POSITIF
« Sur le sommet du positif, je laisse la douce chaleur du soleil envelopper mon corps comme une bulle protectrice. Je me sens protégé, rempli de confiance, d’envie, de plaisir. La caresse de la brise montant de la vallée emporte mes tensions qui s’éloignent et disparaissent au lointain. Je me sens affranchi, léger, en harmonie avec ce tout qui m’entoure. »
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Je fais preuve d’optimisme
JE SUIS POSITIF, JE SAIS APPRIVOISER MON STRESS
Être positif, c’est toujours porter attention au(x) bon(s) côté(s) d’une situation, qu’elle soit source de joie, de colère ou de tristesse. Je reconnais la réalité d’un évènement, je me prépare et m’adapte pour le vivre de la manière la plus confortable possible. J’opte pour une façon constructive d’interpréter les choses, sans toutefois nier leur difficulté et leur part de négatif. Je ne peux pas contrôler les aléas de la vie, le comportement des personnes qui m’entourent ou encore les caprices de la météo. Je n’ai donc aucune raison de m’en soucier. La vie est parfois injuste, et c’est ainsi. J’apprends à ne pas gâcher mon énergie face à des choses que je ne peux pas changer.
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Je peux par contre choisir comment je réponds, comment je me positionne par rapport à cet environnement. Le docteur Viktor Frankl, qui a côtoyé l’horreur et l’innommable, prisonnier dans un camp de concentration pendant la seconde guerre mondiale, a écrit : « il est possible de priver un homme de tout, sauf d'une seule chose, la dernière des libertés humaines : le choix de son attitude dans une certaine situation, le choix de son attitude personnelle ».
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Un exemple du quotidien : j’avais décidé d’aller pique-niquer. Je me lève et il pleut. Je ne peux rien y faire, mais je peux par contre choisir comment je vais réagir face à cet évènement :
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. Pester, invoquer la malchance, l’injustice, me gâcher la journée,
. Réfléchir à quelle(s) autre(s) activité(s) je peux mettre en place pour passer une journée agréable malgré cet impondérable.
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Il n’est bien sûr pas question de ne plus ressentir d’émotions négatives, en particulier dans un contexte difficile. Mais les reconnaitre, les accepter, les intégrer, sans me juger, sans me culpabiliser me permet ensuite de les interpréter avec davantage de recul de façon à emprunter la meilleure voie possible à cet instant précis. Prendre en compte que le verre n’est pas à moitié plein ni à moitié vide, mais qu’il est entièrement rempli. Il contient une moitié d’eau et une moitié d’air qui peut si besoin m’offrir l’opportunité d’ajouter encore plus de liquide. Parvenir à adopter durablement cette vision optimiste demande de l’entrainement. La pensée fonctionne à l’image du corps. Pour qu’elle se renforce positivement, il faut la nourrir sainement et l’exercer régulièrement :
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. J’accepte tout ce que je ne peux pas changer en moi, je me considère simplement tel que je suis en m’octroyant la liberté de développer la meilleure version de moi-même. Je ne me compare pas aux autres, mais je peux m’inspirer d’eux.
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. Je me base sur mes acquis, sur ce que je sais faire, sur les personnes pour qui je compte et qui comptent pour moi. Je porte mon attention sur ce que j’ai déjà, je prends du plaisir et je ne compose pas avec ce que je n’ai pas ou que je pourrai éventuellement avoir un jour.
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. J’emploie des phrases positives car mon cerveau ne comprend pas d’emblée la négation. Par exemple, si je me dis de ne pas penser à un cerf-volant jaune, que se passe-t-il ? Je pense à un cerf-volant jaune avant de me dire qu’il ne faut pas y penser. Et c’est pareil lorsque je me dis (ou que je dis à quelqu’un) : « ne t’inquiète pas ! » Le cerveau va recevoir en priorité l’information qu’il faut s’inquiéter. Il ne s’évertuera qu’ensuite à ne pas diffuser au corps ce message d’inquiétude. Mais entre-temps, ce ressenti d’inquiétude bien réel aura causé des dégâts. C’est pourquoi je remplace cette tournure négative par une positive : « rassure-toi ! » pour empêcher de faire passer l’inverse du message que je veux délivrer aux autres ou à moi-même.
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. Je fais taire la petite voix en moi, celle qui me dit : « je n’y arriverai jamais », « je suis nul » ou encore « ce n’est pas pour moi ». Ces petites phrases à première vue inoffensives qui peuplent l’esprit de chacun ont un pouvoir destructeur. Leur répétition finit par laisser des traces indélébiles en moi. Elle consolide mon sentiment d’infériorité, d’incapacité en étouffant ma confiance et mon estime de moi pour m’amener sournoisement vers ce phénomène mis à jour par Martin Seligman : l’impuissance acquise. C’est le processus d’inaction, de résignation qui se produit lorsque je suis confronté de manière répétée à un stimulus perçu négativement auquel je ne peux me soustraire. Je n’agirai pas, même en présence de moyens de me sortir de cette situation. Par exemple, des parents qui abandonnent l’idée de faire manger des légumes à leur enfant car leurs échecs répétés en la matière leur laissent penser qu’ils en sont incapables.Je réalise que je suis à l’origine de ces petites phrases, qu’aucune d’elles ne prend forme en mode automatique : je suis la voix derrière la voix. Je cherche alors à comprendre pourquoi j’entretiens ces médisances intérieures dans le but de m’en libérer.
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. J’évite les influences négatives extérieures. Mon proche entourage a un fort pouvoir d’influence sur mon moral, de manière consciente ou inconsciente, positivement mais aussi négativement. Cela vaut pour mes collègues, mes amis, ma famille. Ils doivent normalement me respecter, me soutenir, me faire avancer, et réciproquement. Mais il arrive que malgré ma volonté de vouloir instaurer avec ces proches une attitude positive, ils s’avèrent parfois toxiques, intéressés, manipulateurs, moralisateurs, désobligeants, chronophages. Je continue pourtant à les fréquenter par habitude, par facilité, par faiblesse, « parce que je le (ou la) connais depuis longtemps », alors que rien ne m’y oblige ni ne m’y encourage. Je me questionne objectivement sur l’utilité de ces relations, sur l’impact qu’elles ont sur moi. Je m’emploie à les espacer, voire à m’en détacher pour me protéger. Cet exercice peut s’avérer difficile mais je n’ai à m’en sentir ni gêné, ni coupable. Une relation à sens unique n’a aucune chance de générer à mon égard sur du long terme quelque chose de positif. De plus en parvenant à faire ce que je pense ne pas pouvoir faire, je gagne en confiance, en estime. Je me désintoxique tout en faisant de la place pour de nouvelles rencontres. Je me sens au final plus en phase avec moi-même.
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. J’apprivoise mes pensées négatives. Il est inévitable d’être pris dans le cycle des pensées machinales, improductives, que ce soit à l’encontre des autres ou de moi-même. Mais je peux, dès que je m’en aperçois, essayer de transformer favorablement ce type de pensée en la contredisant par une ou plusieurs pensées positives. Par exemple, je suis en train de penser que je n’arriverai pas à finaliser une tâche professionnelle. J’accepte ce doute tout en me rappelant que j’ai déjà résolu ce genre de problèmes avec succès auparavant. Cette prise de recul me remet en mémoire les expériences passées qui m’ont fourni des enseignements, des savoir-faire pour mener ce projet à son terme. Je réalise aussi que je peux m’appuyer sur le soutien et l’expérience de mes collègues de projet. En mettant ainsi en valeur mes potentialités personnelles et externes, ce qui me paraissait insurmontable devient réalisable.
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. J’identifie mes pensées négatives pour mieux les contrer. Exemple avec un tennisman :
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. Le défaitisme survient quand je m’attends au pire. Par exemple, je suis victime de défaitisme si je pense avant chaque match de tennis que je vais le perdre.
. La facilité d’accusation me fait croire qu’un ou plusieurs éléments extérieurs sont responsables de mes émotions ou expériences négatives. Par exemple, je peux penser que j’ai perdu mon match à cause de la stratégie mise en place par mon coach ou à cause du vent.
. La catégorisation consiste à coller des étiquettes aux autres ou à moi-même suite à un événement ou une action. Par exemple, si j’ai négligé un entrainement avant un tournoi, je peux commencer à supposer que je ne peux pas me faire confiance.
. Le sentiment d’injustice me fait préjuger que ce qui se produit dans ma vie n’est pas juste. Par exemple, je peux penser que je n’ai pas le niveau de jeu que je voudrais avoir parce que la vie est injuste.
. La généralisation m’amène à penser que puisqu’une situation s'est produite, elle va toujours se reproduire. Par exemple, si j’ai perdu un match, je vais perdre à nouveau les prochaines rencontres. De même, j’imagine qu’une émotion est pérenne quand je l’ai ressentie une fois. Par exemple, je peux penser que je vais toujours souffrir dans mes relations sentimentales.
. La filtration se produit quand je ne retiens que les aspects négatifs d’un évènement. Par exemple, si je n’ai que difficilement battu un adversaire que je considérais comme étant largement à ma portée, je peux considérer jouer à un niveau médiocre.
. La pensée en noir et blanc survient lorsque je juge une situation bonne ou mauvaise en ne distinguant pas les nuances de gris qui la composent. Par exemple, si j’atteins un bon niveau de classement mais que j’espérais encore mieux, bien qu’ayant réussi de bonnes performances, je pense avoir raté ma saison.
. La personnalisation apparaît lorsque je pense avoir un effet sur des situations ou des événements sur lesquels je n’ai en réalité aucun contrôle. Par exemple, si mon coach est caractériel, colérique, je peux être amené à croire que c’est à cause de mon comportement, de mes erreurs.
. L'illusion de contrôle apparaît lorsque je pense n'avoir aucun contrôle sur une situation ou au contraire la contrôler totalement. Par exemple, je peux me persuader qu'il n'y a rien que je puisse faire pour améliorer l’efficacité de ma première balle de service.
. L’illusion de télépathie survient quand je crois connaître les ressentis ou les pensées des autres. Par exemple, si je ne parviens pas à exécuter correctement un enchainement lors d’une séance d’entraînement, je peux penser que mes partenaires et mon coach me jugent maladroit, pas au niveau.
. La conversion obligée lorsque j’imagine que les autres doivent impérativement changer pour qu’une situation s’améliore, pour que je puisse être heureux. Par exemple, je peux penser que je ne serai jamais heureux tant que mon partenaire ne modifie pas son comportement.
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Je m’applique à rentrer dans le cercle vertueux de la loi de l’attraction. Plus je suis positif, plus j’organise mes pensées et mes actions de manière constructive et optimiste, mieux je vis mon quotidien, donc je suis encore plus positif, etc… C’est une théorie non prouvée scientifiquement qui affirme que tout est énergie et que le type d’énergie que je diffuse me reviendra. C’est un état d’esprit qui n’est pas sans rappeler d’anciens proverbes : « on récolte ce que l’on sème » ou encore « comme on fait son lit, on se couche ». C’est surtout une philosophie permettant de m’ancrer dans la pensée positive, de m’ouvrir à toutes les belles et bonnes choses de l’existence, d’améliorer ainsi ma qualité de vie et celle des autres.
La formule P+P+P=P
Je vis au Présent + je pense Positif + je prends du Plaisir = je suis en Paix
Le stress est par définition un mécanisme d’adaptation vital nécessaire, ni bon ni mauvais.
Le corps réagit face à un stimulus externe, réel ou supposé, en créant une tension psychologique (émotions négatives, anxiété, peur) et physiologique (augmentation de la sécrétion d’adrénaline, de la fréquence cardiaque, du taux de cortisol). Cette réaction à une situation particulière est propre à chacun. Elle n'est pas une réponse automatique, immuable. Elle est fortement conditionnée par ma personnalité, mon éducation et les différents traumatismes que j’ai pu subir dans mon histoire de vie.
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Le stress me permet de mobiliser l’énergie nécessaire dans mon organisme pour faire face à une agression extérieure. Il se traduit en premier lieu par une phase d’alarme qui se manifeste à l’instant où je subis le stimulus stressant. Mon organisme va se mobiliser pour s’adapter. Sécrétion d’adrénaline, augmentation des globules blancs, activation du système parasympathique avec production de cortisol pour me ramener à l’équilibre. Peu importe la nature de la situation, la réponse est toujours identique. Si cette phase d’alarme survient trop fréquemment, mon mental ne relâche plus sa vigilance, mon corps n’arrive plus à récupérer et mon état de santé se dégrade.
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La seconde phase de résistance apparaît si l’action du stimulus stressant se prolonge. Le processus d’adaptation est poussé à son maximum pour appeler d’autres ressources à la rescousse : la production d’adrénaline s’accroît, générant anxiété et diminution progressive de la résistance du corps. Le système activateur de l’action est stimulé pour permettre d’adapter le choix de la réponse à apporter. Puis le taux de cortisol augmente dans le sang, l’adrénaline et les globules blancs baissent pour un retour à l’équilibre.
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La troisième phase se présente si le stress se prolonge encore. L’organisme ne peut plus faire face, les réserves sont épuisées, les dépenses énergétiques nécessaires sont trop importantes. Le cortisol demeure dans le corps provoquant diabète, surpoids, état dépressif ou encore hypertension artérielle. L’effondrement des globules blancs facilite l’apparition de pathologies diverses.
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Si la réponse au danger arrive rapidement, mon corps se relâche en libérant des endorphines, de la dopamine et de la sérotonine, pour retrouver un état de calme. Par contre, si le stress persiste, mon corps demeure en alerte permanente, le stress devient alors chronique et épuise mes défenses.
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Le stress pèse aussi sur mon intégrité psychologique. Il peut en effet occasionner troubles du sommeil et induire un état dépressif. Mais il ne faut pas amalgamer stress et dépression. Le stress ne peut pas être considéré comme une maladie, même si un individu stressé peut tout de même témoigner de l’irritabilité et se replier sur lui-même. Le biologiste canadien Hans Selye identifie deux types de stress, en fonction de la faculté d’adaptation de l’individu :
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. Le bon stress ou « eustress » qui rassemble tout ce qui génère du plaisir. Celui qui me transcende, qui me pousse à donner le meilleur de moi-même lors d’une épreuve sportive, d’un examen, d’un entretien d’embauche, de toute activité motivante, exaltante. Lorsqu’il est vécu positivement comme un challenge à surmonter, le stress peut devenir un puissant stimulant.
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. Le mauvais stress ou « distress » qui rassemble tout ce qui génère du déplaisir. Il trouve sa source dans les situations difficiles (perte d’emploi, séparation, accident, décès), les évènements subis en inadéquation avec mes aspirations, mes valeurs, mes capacités d’adaptation. Il peut s’installer sournoisement et perdurer bien après le vécu de l’élément stressant, affectant les fonctions de mon organisme et causant troubles et maladies.
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Dans les deux cas, il y a production d’hormones d’adaptation. Toutefois, si elle est intense et/ou répétée, cette réponse biologique peut devenir excessive et un bon stress peut se changer en mauvais stress. Tout est donc une question d'équilibre. Un trop plein de stress peut nuire à mon intégrité physique et mentale. En revanche, quand celui-ci est de faible ampleur ou maîtrisable, il peut s’avérer être un véritable atout.
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Les causes du stress sont multiples, elles peuvent être d’origine :
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. Personnelle quand j’adopte des comportements à risque : hyper-contrôle, hyperactivité, perfectionnisme, insensibilité ou mauvais rapport à ma corporalité…
. Relationnelle quand je vis une séparation, une incompréhension, un conflit, des non-dits, mais aussi une absence de relation qui m’enferme dans la solitude…
. Environnementale quand je suis confronté au bruit, à la pollution, à des conditions extrêmes, au milieu du travail et ses sollicitations : horaires imposés, objectifs à atteindre, rythme, charge et conditions de travail…
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Je peux réagir de trois façons face au stress : la fuite où j’évite la source du stress, l’attaque où je m’emploie à la neutraliser, l’inhibition où je me force à rester en contact avec elle en entrainant la perte de mes capacités et un ressenti d’inaction, de faiblesse, de pessimisme. Il est important d’identifier le mode de réaction dont je fais usage en réponse à une situation donnée pour affiner ma qualité d’adaptation.
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En m’invitant à réfléchir, à me remettre en question, le stress devient alors un indicateur qui contribue à mieux me connaître par le repérage de mes attentes, de mes besoins, de mes ressources.
Exercice : LES CINQ SENS
pour activer des perceptions positives, réhabiliter du plaisir en développant en pleine conscience les facultés sensorielles :
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(Position assise, après installation du calme) « Je porte à présent une attention particulière à l’odorat… Je respire profondément… Je me concentre sur mon nez… Sur l’air que je sens pénétrer dans mes narines… Plus frais à l’entrée qu’à la sortie… Je peux suivre son trajet… Le sentir pénétrer dans mon cerveau, mes poumons, dans tout mon corps… J’imagine maintenant sentir une odeur agréable… Une odeur que j’aime, peut-être celle d’un parfum, d’un arôme, ou tout autre odeur que j’affectionne particulièrement… Sentir cette odeur, se souvenir… Bien se sentir … Les odeurs agrémentent la vie… Font naître du plaisir… Je me concentre maintenant sur le goût … Sur ma bouche, siège du goût… L’intérieur de ma bouche… La cavité buccale… Je passe ma langue contre le palais… Contre les dents… Sur les lèvres… Je goûte ma salive, je l’avale… Je songe maintenant à un goût agréable que j’apprécie particulièrement… Goût agréable d’un aliment salé ou sucré, à ma convenance… Je m’imprègne de ce goût plaisant comme si je l’avais dans ma bouche… Je le sens aromatiser agréablement ma cavité buccale… Et je le sens persister dans mon palais… Je goûte au moment présent… A toutes ces sensations agréables… Et je porte maintenant mon attention sur l’ouïe… Je place mes coudes sur les cuisses, et mes mains en coquille sur les oreilles… Et je focalise mon attention sur la fonction de l’ouïe… L’action d’entendre… Je prends conscience de mes oreilles, de chaque côté de ma tête … Je suis attentif aux sons lointains… Aux sons proches… J’imagine entendre un son qui m’est agréable, que j’aime… Cela peut être une musique, une voix, ou tout autre son qui m’est agréable… J’accueille toutes les sensations agréables… J’imagine aussi pouvoir écouter le silence… Et je me place entièrement à l’écoute de mon corps… Je pense à la vue maintenant… Mes coudes toujours sur les cuisses, je place mes mains en coquille sur les yeux… Et je prends conscience de mes yeux… De mes globes oculaires que je peux faire bouger derrière mes yeux fermés… Je peux réfléchir à l’action de voir… Je laisse à présent venir à moi les images d’un paysage où je me sens en harmonie, ou de tout autre vue agréable pour moi… Je m’imprègne de cette image positive… Apaisante… J’en apprécie les formes… Les volumes… Les couleurs… Je prends bien le temps d’accueillir toutes les sensations agréables associées à cette image… Et je laisse tout doucement s’estomper cette image tout en restant en contact avec les sensations agréables générées… Je prends maintenant conscience du toucher… L’action de toucher… Je prends conscience de mes mains… J’imagine toucher différents objets… Une peluche… Un tronc d’arbre… J’imagine maintenant toucher de la neige … du sable chaud … Et je laisse ces sensations s’en aller et je me prépare à entrer en contact avec mon propre corps… Avec mes mains, je parcours lentement et avec bienveillance mon visage… Je peux en apprécier sa forme, son volume… Puis je pars maintenant à la rencontre de tout mon corps… Mes mains le parcourent avec bienveillance, comme un outil précieux dont il me faut prendre soin… Du sommet du crâne jusqu’à la pointe de mes pieds… Lentement… Dans la pleine conscience de mon corps… Je prends le temps d’accueillir les sensations agréables… » (retour à l’éveil)